Kuta

Publié le par Men's family

Ce matin on se réveil tous très tôt. Enfin tout est relatif hein, y’a tôt et tôt. 7h c’est pas si tôt.... mais 7h quand le taxi grab vient nous chercher à 8h, c’est presque trop tard ! Surtout quand on va déjeuner à l’extérieur. Mais on arrive quand même à être prêt.
On a un peu eu peur quand le taxi commence à nous dire (encore un) qu’on ne rentrera pas tous dans la voiture avec nos énormes bagages. Ben oui c’est sûr que quand on a dans sa bagnole une enceinte Pioneers qui prend tout le coffre, JE TE CONFIRME QUE LES BAGAGES NE RENTRERONT PAS !!! Mais il nous connaît pas le gars, ça rentrera...

Nous partons si tôt car nous voulons arriver tôt à Kuta pour profiter de la ville et faire des emplettes. Bon ben pour le coup on arrive grave tôt, vers 9h. On a eu que 14 km à faire mais ça a pris plus de 45 mn. Une circulation de dingue comme toujours.

Les chambres ne sont pas prêtes bien sur car il est trop tôt, ils nous gardent les bagages le temps qu’on aille se promener.
Nous voulions prendre un scooter afin d’explorer la ville mais quand on voit la circulation qui est presque multipliée par 3, on se dit qu’un grab fera très bien l’affaire.
On arrive en ville, à Kuta Beach, sur une belle plage avec des vagues de malade. Même en revoyant le petit film que j’ai fait, ça ne retranscrit pas les rouleaux qu’on voyait. Je n’ai pas de mal à imaginer un tsunami. C’était un spectacle beau et effrayant à la fois.

10h. quartier libre...

à Kuta il y a énormément de petits magasins qui vendent tjs la même chose finalement, des pantalons des robes des t shirt des shorts des sacs. Ils se suivent les uns après les autres mais c’est toujours les mêmes articles. On se croirait aux souks pour ceux qui connaissent. En tout cas ils sont au moins aussi lourd. Tu n’as pas mis un pied dans leur magasin, tu passes juste sans rien demander, tu entends « yes, hello, come, inside » alors imagine si tu as le malheur de toucher quoi que ce soit, ils ne te lâchent plus. C’est oppressant. Franchement au debut avec Annick on s’en amusait, on répétait derrière eux « yes, hello » à la fin de la journée on était presque méchantes. Du coup finalement tu rentres plus nul part tu te sens agressée partout... ça m’a gâché ma journée emplette je n’ai pas tout trouvé mes cadeaux. Bordel !

Vers 16h, lessivé par leur yes hello come come inside.. direction l’hôtel... ras le bol !
On découvre nos chambres et là, waouh. D’extérieur l’hôtel casse pas trois pâtes à un canard, et ce matin nous avions quand même vu qu’il y avait un ascenseur. Waouh un ascenseur !!!

Mais les chambres franchement je suis épatée. C’est le premier hôtel où c’est une carte NFC qui ouvre les portes. Il y a tout ce qu’il faut dans la chambre, dans la salle de bain, même dès coton tige. Rhooo la la, quand je vois le prix qu’on la payé celle là ! 12€ la nuit !! Je suis choquée.
Même Dylan, qui pourtant ne s’attache plus du tout à ce genre de « matériel » est épaté et déçu de ne pas dormir avec nous ce soir. Car oui c’est le jour du départ pour mon Dydy. Et bien sûr l’heure des larmes.

Il s’en va rejoindre sa chérie en Australie, et même si je sais qu’il rentre bientôt, je n’en suis pas moins triste.
Il m’a vraiment épaté pendant ces 3 semaines. Il a pris pas mal de choses en main naturellement. Il parle très bien anglais maintenant (Mme Rousseau serait drôlement contente) et il est très sociable. Son look rasta baba cool ne passe pas inaperçu et il a eu souvent des « my friend » où l’on passait. Il ne lit pas ce blog, mais je voudrais vraiment qu’il sache que je suis super fière de lui, même si je lui ai dit. Bien sûr, on y serait arrivé , mais en moins de temps ; il nous a facilité grandement le voyage.

Je me couche tristoune ce soir, j’ai mal à mon petit cœur de maman poule 😢

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